Investir dans les interconnexions électriques
Investir dans les interconnexions électriques
Des bénéfices économiques immédiats et un rôle clef dans la transition énergétique
Des bénéfices économiques immédiats et un rôle clef dans la transition énergétique
A partir de 2030, la France va probablement devoir construire plus d’interconnexions électriques avec ses voisins afin de faciliter l’intégration des énergies renouvelables sur le réseau. La volonté du gouvernement de tenir les objectifs de transition énergétique et les perspectives liées au stockage de l’électricité positionnent les interconnexions comme un outil clef de l’équilibre des réseaux nationaux.
La situation économique actuelle, liée à la crise sanitaire du Covid-19, nécessite de stimuler les investissements, publics comme privés. L’effet multiplicateur de l’investissement est aujourd’hui particulièrement élevé du fait de la conjoncture économique, notamment dans les infrastructures. Il convient d’avancer les investissements prévus pour plus tard, et de mener à bien les projets utiles et financés. Les interconnexions, facilitateurs de la transition vers les énergies renouvelables, constituent à ce titre un cas d’école pour un Green Deal post-crise.
Investir dès aujourd’hui dans des interconnexions avec certains pays, comme le Royaume-Uni, permet de créer de la valeur économique directe, via l’achat – vente d’électricité. La complémentarité des systèmes électriques permet ainsi de dégager un surplus économique. La France va exporter son électricité ce qui améliorera sa balance commerciale et réduira légèrement le coût du soutien aux énergies renouvelables. En sus de leur intérêt écologique à long-terme, les interconnexions ont un intérêt économique à court-terme.
Le projet d’interconnexion entre le Royaume-Uni et la France porté par Aquind constitue donc une occasion d’investir localement (en Normandie) avec un effet multiplicateur élevé dans une infrastructure qui permettra à la France d’exporter son électricité et de participer à équilibrer les réseaux. En outre, l’entreprise propose de financer intégralement l’investissement sur fonds privés, ce qui annule le risque collectif. L’argent mobilisé par cet investissement ne se substitue ainsi à aucun autre investissement potentiel.
Asterès a été mandaté par Aquind pour mener une étude économique sur les interconnexions électriques dans la conjoncture de crise économique actuelle.
A partir de 2030, la France va probablement devoir construire plus d’interconnexions électriques avec ses voisins afin de faciliter l’intégration des énergies renouvelables sur le réseau. La volonté du gouvernement de tenir les objectifs de transition énergétique et les perspectives liées au stockage de l’électricité positionnent les interconnexions comme un outil clef de l’équilibre des réseaux nationaux.
La situation économique actuelle, liée à la crise sanitaire du Covid-19, nécessite de stimuler les investissements, publics comme privés. L’effet multiplicateur de l’investissement est aujourd’hui particulièrement élevé du fait de la conjoncture économique, notamment dans les infrastructures. Il convient d’avancer les investissements prévus pour plus tard, et de mener à bien les projets utiles et financés. Les interconnexions, facilitateurs de la transition vers les énergies renouvelables, constituent à ce titre un cas d’école pour un Green Deal post-crise.
Investir dès aujourd’hui dans des interconnexions avec certains pays, comme le Royaume-Uni, permet de créer de la valeur économique directe, via l’achat – vente d’électricité. La complémentarité des systèmes électriques permet ainsi de dégager un surplus économique. La France va exporter son électricité ce qui améliorera sa balance commerciale et réduira légèrement le coût du soutien aux énergies renouvelables. En sus de leur intérêt écologique à long-terme, les interconnexions ont un intérêt économique à court-terme.
Le projet d’interconnexion entre le Royaume-Uni et la France porté par Aquind constitue donc une occasion d’investir localement (en Normandie) avec un effet multiplicateur élevé dans une infrastructure qui permettra à la France d’exporter son électricité et de participer à équilibrer les réseaux. En outre, l’entreprise propose de financer intégralement l’investissement sur fonds privés, ce qui annule le risque collectif. L’argent mobilisé par cet investissement ne se substitue ainsi à aucun autre investissement potentiel.
Asterès a été mandaté par Aquind pour mener une étude économique sur les interconnexions électriques dans la conjoncture de crise économique actuelle.